23 Janvier 2020.
Résumé
Après plusieurs décennies de sous-investissement, la plupart des Trains de Nuit (TdN) français ont été démantelés en 2016-2017. L’État et la SNCF ont à cette occasion répété des prétextes, contredits depuis, autour du taux d’occupation – qui finalement s’avère honorable – et d’un « déficit » – qui, selon les rares chiffres disponibles, est pourtant inférieur par voyageur*km à celui des TER et des Intercités de jour. D’importantes zones d’ombres existent, et une contre-expertise apparaît nécessaire pour mettre en lumière le potentiel des TdN. Ils présentent des avantages remarquables :